Tu es comme le soleil, n'hésitant pas à braver les nuages quand il pleut.
dimanche 13 décembre 2009
"Sing For Absolution"
La musique est une source d'inspiration inépuisable et un exellent exutoire. Être emporter par une mélodie, une voix et laisser son esprit libre au gré du vent.
Parfaite planitude que d'être au dessus de toute réalité. Ma vie pourrait-elle ressembler à l'un de mes innombrables rêves utopiques ? Autant rire aux éclats sur le champs !
La musique donne une âme à nos coeurs
et des ailes à la pensée. [Platon.]
samedi 12 décembre 2009
"Nobody knows me"
"J'écris autrement que je ne parle, je parle autrement que je ne pense, je pense autrement que je ne devrais penser, et ainsi jusqu'au plus profond de l'obscurité."
Franz Kafka.
Franz Kafka.
"Romances sans paroles"
Il pleure dans mon coeurComme il pleut sur la ville ;
Quelle est cette langueur
Qui pénètre mon coeur ?
Ô bruit doux de la pluie
Par terre et sur les toits !
Pour un coeur qui s'ennuie,
Ô le chant de la pluie !
Il pleure sans raison
Dans ce coeur qui s'écoeure.
Quoi ! nulle trahison ?...
Ce deuil est sans raison.
C'est bien la pire peine
De ne savoir pourquoi
Sans amour et sans haine
Mon coeur a tant de peine !
Paul Verlaine.
vendredi 11 décembre 2009
"Oh! Oh! Oh! Merry Christmas!"
Noël.
Fête célébrant chaque année la naissance de Jésus de Nazareth. N'étant pas coyante, je dirais plutôt que c'est une bonne excuse pour se retrouver en famille, manger un bon repas et bien évidement, reçevoir une tonne des cadeaux.
Cette année, je ne souhaite qu'une chose : que la soirée ne finisse pas par des lancers de flûtes de champagnes.
Mesdames, Mesdemoiselles et Messieurs, faites vos jeux !
jeudi 10 décembre 2009
"... !"
Rancoeur.
L'amitié, c'est comme une cigarette. On commence par la consommer et on finit par jeter le mégot.
samedi 28 novembre 2009
"On peut pardonner, mais oublier, c'est impossible."
Je me croyais à l'abri des évênements passés mais lorsque ces derniers m'ont rattrapé, j'aurais voulu disparaître, juste disparaître.
Je pensais en avoir finis avec cette histoire. Comme cela est étrange, il suffit d'une seule rencontre pour que tout s'éffondre. La peur revient accompagné de ses fameux tremblements qui ne cessent de me rendre encore plus folle. Quelques regards, quelques mots et me voilà propulsé dans un passé sordide où une autre moi était plus que détestable et minable.
Les battements d'un coeur atteignant leur paroxysme. Les mains horriblement moites. La respiration devenant saccadée.
Un simple "Bonjour" et je me sentis défaillir. Je me surpris à vouloir devenir aveugle et sourde, juste un instant. Aucun mot ne pu sortir, mes lèvres restèrent soudées. Il y avait lui, moi et certains passants mais étrangement, je nous revis seul à seul dans la pénombre.
Un "Je m'excuse, je n'étais pas moi même" fut murmuré brisant un silence plus que pesant. Ai-je bien entendu ? Pourquoi maintenant ? Serais-tu accablé par les remords ?
Une gifle partie. Un bruit sourd. Des larmes coulèrent.
De nouveau l'obscurité me persécute sans épuisement, m'entrainant dans les méandres sombres et tourmantés de mon passé.
Je pensais en avoir finis avec cette histoire. Comme cela est étrange, il suffit d'une seule rencontre pour que tout s'éffondre. La peur revient accompagné de ses fameux tremblements qui ne cessent de me rendre encore plus folle. Quelques regards, quelques mots et me voilà propulsé dans un passé sordide où une autre moi était plus que détestable et minable.
Les battements d'un coeur atteignant leur paroxysme. Les mains horriblement moites. La respiration devenant saccadée.
Un simple "Bonjour" et je me sentis défaillir. Je me surpris à vouloir devenir aveugle et sourde, juste un instant. Aucun mot ne pu sortir, mes lèvres restèrent soudées. Il y avait lui, moi et certains passants mais étrangement, je nous revis seul à seul dans la pénombre.
Un "Je m'excuse, je n'étais pas moi même" fut murmuré brisant un silence plus que pesant. Ai-je bien entendu ? Pourquoi maintenant ? Serais-tu accablé par les remords ?
Une gifle partie. Un bruit sourd. Des larmes coulèrent.
De nouveau l'obscurité me persécute sans épuisement, m'entrainant dans les méandres sombres et tourmantés de mon passé.
samedi 17 octobre 2009
mercredi 7 octobre 2009
"Do you have a question ?"
1° Quelle heure est-il ? Actuellement, il est 22h51 et je me fais chier (pour ne pas changer mes habitudes). Alors ce questionnaire tombe à pic !
2° De quoi ne peux-tu pas te passer ? Hum... Des personnes que j'aime. De musique. De mon pc (c'est la geek qui parle)
3° Tes films favoris ? Titanic. Orgeuils & Préjugés. Mémoire d'une geisha. Brokeback Mountain.
4° Ce que tu as en fond d'écran ? Une photo d'une amie & moi lors de mon séjour à Nîmes.
5° Le livre que tu lis actuellement ? Une vie de Maupassant.
6° Selon toi, ce qui est le plus important dans la vie : Suivre ses envies & réaliser ses rêves.
7° Ton album favori : How To Save A Life de The Fray
8° Si tu pouvais rencontrer une personne de ton choix, morte ou vivante qui serait-ce ? Morte, ma grand mère maternel, pour essayer de comprendre certaines choses. Vivante, Kim Jong Il pour lui foutre mon poing dans la gueule.
9° Si tu pouvais teindre tes cheveux en la couleur de ton choix, laquelle choisirais-tu ? Noir.
10° Ton acteur/actrice favori(te) : Léonardo Dicaprio.
11° Le cadeau de tes rêves ? Revoir mon grand père pour le serrer dans mes bras et retrouver son odeur si particulière.
10° Ton acteur/actrice favori(te) : Léonardo Dicaprio.
11° Le cadeau de tes rêves ? Revoir mon grand père pour le serrer dans mes bras et retrouver son odeur si particulière.
12° Meilleure chose au monde ? Le bonheur.
13° Pire chose au monde ? L'humanité. Je pense que sans nous, le monde ne serait que meilleur et se porterait beaucoup mieux.
14° Crois-tu au destin ? Non. J'ai toujours eu du mal à croire que l'on est prédestiné à vivre ce que l'on vit.
15° Ce que tu préfères chez les gens ? Leur joie de vivre et leur humour. Mais aussi, leur tolérance et leur détermination.
16° Ta plus grande qualité ? Ma tolérance.
17° Ton plus grand défaut ? Ma franchise.
18° De quoi as-tu le plus peur ? La solitude... Mais également, la mort.
19° Penses-tu que la vie peut s'améliorer et que nous pourrons un jour vivre dans l'harmonie ? Non. L'Homme ne peut vivre en harmonie, il est bien trop con !
13° Pire chose au monde ? L'humanité. Je pense que sans nous, le monde ne serait que meilleur et se porterait beaucoup mieux.
14° Crois-tu au destin ? Non. J'ai toujours eu du mal à croire que l'on est prédestiné à vivre ce que l'on vit.
15° Ce que tu préfères chez les gens ? Leur joie de vivre et leur humour. Mais aussi, leur tolérance et leur détermination.
16° Ta plus grande qualité ? Ma tolérance.
17° Ton plus grand défaut ? Ma franchise.
18° De quoi as-tu le plus peur ? La solitude... Mais également, la mort.
19° Penses-tu que la vie peut s'améliorer et que nous pourrons un jour vivre dans l'harmonie ? Non. L'Homme ne peut vivre en harmonie, il est bien trop con !
20° Penses-tu que la vie vaut la peine d'être vécue ? Je serai tentée de dire non. Vivre une vie sans sentiments serait plutôt pas mal. Mais ce ne serait pas vraiment vivre, non ? Je vais quand même répondre oui. Après tout, certaines choses vallent la peine d'être vécue.
21° Que penses-tu de ce questionnaire ? Il est intéressant. Ma chère et tendre Elodie a plutôt bien séléctionné les questions ;)
mardi 6 octobre 2009
"Faire rire, c'est faire oublier. Quel bienfaiteur sur la terre, qu'un distributeur d'oubli !"
Nîmes - 03.10.09/04.10.09 
Il s'en va puis reviens pour mieux repartir. Pouvoir le retenir me semble presque impossible.
vendredi 18 septembre 2009
[...]
L'hypocrisie. Cela doit être l'une des choses que je fuis le plus. Que dois je faire quand ce mot définirait la majeure partie de ma famille ? Fuir ? Fuir... Toujours fuir même si au fond, j'aimerai retrouver de particuliers moments avec tantes, oncles, cousins, cousines, frères, soeurs et parents. Chimère. Le temps des soirées à rire ensemble me semble bien loin. Ont t'elles réellement existés ? Etais je une fillette aveuglé qui ne discernât qu'une famille unie ? Alors qu'elle n'était que laide et malsaine !
La réalité est toujours dure.
"Fille pourri gâté. Garce. Tu ne connais que ta petite personne. Salle gosse. Bourgoise. Tu manques de claques dans ta gueule. Petite conne. Petite merde. T'es qu'une peste."
L'inévitable masque se pose sur mon visage. Allez y ! Coulez ! Personne ne vous voit, non ? Bien sur que non.
La famille. Ca pourrait évoquer divers sentiments qui vous donne le sourire. Hélas, ce n'est pas mon cas. J'ai juste envie de hurler à en cracher mes poumons, de frapper à m'en faire mal et de fuir cette endroit pour un autre où on ne me jugera plus. Où je n'aurai plus peur de sortir dehors de peur de croiser certains regards. Où je ne sentirai aucun stress. Où l'épanouissement ne me fuierait pas. Où je serai tout simplement Nancy, jeune fille de presque 20 ans qui croquerait la vie à pleines dents.
Dois je sombrer dans un profond sommeil pour être enivrer d'extase ? Mais alors, ce ne serait pas une vie que je croquerais.
jeudi 27 août 2009
dimanche 5 juillet 2009
vendredi 19 juin 2009
"La vie, c'est Paris ! Paris, c'est la vie !"
Comme cela est étrange, ce week end passait avec vous me semble si lointain.
On peut détruire le souvenir
On dit que le temps défile quand on apprécie ce qu'on vit. Cela doit être vrai car je n'ai même pas eu le temps de reprendre mon souffle que j'étais déjà sur le chemin du retour, les yeux embrumés de mélancolie. Quel dur retour à mon quotidien si fade. J'étais loin d'imaginer que je pouvais encore plus m'attacher à vous que je ne l'étais déjà.
On peut détruire le souvenir avec des mots, mais non la beauté
de ce souvenir.
Je nous revoie à la gare, se rencontrant toutes les quatres ensembles pour la première fois. Je me souviens encore du bruit assourdissant qui régné dans cet espace ferroviaire, de la petite brise parisienne, des gens autour de moi. Je me souviens également d'un ange et son ballon rouge vif, d'une belle Isabel qui s'est enchainée à mon bras dès ma sortie du train et d'une nouvelle soeur qui ne cessait de me sourire.
J'anticipais beaucoup de rencontrer trois amies connue via un forum, me posant tout un tas de question. "Est ce que la complicité sera toujours présente ?" "Serait ce bizarre de les prendre dans mes bras dès notre première rencontre ?". Questions tellement futiles quand on sait que tout c'est déroulé très naturellement.On dit que le temps défile quand on apprécie ce qu'on vit. Cela doit être vrai car je n'ai même pas eu le temps de reprendre mon souffle que j'étais déjà sur le chemin du retour, les yeux embrumés de mélancolie. Quel dur retour à mon quotidien si fade. J'étais loin d'imaginer que je pouvais encore plus m'attacher à vous que je ne l'étais déjà.
Ce week end est et restera un exellent souvenir abreuvé d'éclats de rires, d'émerveillement, de joie, de bétises et surtout de tendresse.
_________________________________________
Il n'y a rien de plus exaltant que de rencontrerdes personnes aussi surprenanteset de s'y attacher malgré la distance._________________________________________
mardi 16 juin 2009
"Quelle étrangeté d'être interpellée par un sonnet !"
Je vis, je meurs ;Je me brûle et me noie ;
[...] J'ai grands ennuis entremêlés de joie.
Tout à un coup je ris et je larmoie,
[...] Mon bien s'en va, et à jamais il dure ;
Tout en un coup je sèche et je verdoie.
[...] Et, quand je pense avoir plus de douleur,
Sans y penser je me trouve hors de peine.
_
[...] J'ai grands ennuis entremêlés de joie.
Tout à un coup je ris et je larmoie,
[...] Mon bien s'en va, et à jamais il dure ;
Tout en un coup je sèche et je verdoie.
[...] Et, quand je pense avoir plus de douleur,
Sans y penser je me trouve hors de peine.
_
Puis, quand je crois ma joie être certaine,
Et être au haut de mon désiré heur,
Il me remet en mon premier malheur.
Et être au haut de mon désiré heur,
Il me remet en mon premier malheur.
■ Louise Labé
Sonnet VIII
mardi 9 juin 2009
"Rendez moi mon poupon !"
Enfance
_
Période de la vie humaine allant de la naissance à la puberté.
Une époque où tout était agréablement simple et où je n'avais pas conscience de la réalité qu'est la vie.
Ne pas être accabler par les responsabilités et s'amuser. Juste s'amuser. Et se blotir contre une mère quand on a le moindre petit bobo. S'esclaffer pour des choses insignifiantes. Rejoindre le lit des parents après un mauvais rêve. Attendre noël avec une impatience démesuré. Vivre pleinement sans réel contrainte.
En regardant quelques photos prisent lors de cette période, je me remémore certains rêves déchus. Rêves omniprésents, utopistes. Cela me donne un goût amère.
Grandir. Comme c'est étrange.
Ne pas être accabler par les responsabilités et s'amuser. Juste s'amuser. Et se blotir contre une mère quand on a le moindre petit bobo. S'esclaffer pour des choses insignifiantes. Rejoindre le lit des parents après un mauvais rêve. Attendre noël avec une impatience démesuré. Vivre pleinement sans réel contrainte.
En regardant quelques photos prisent lors de cette période, je me remémore certains rêves déchus. Rêves omniprésents, utopistes. Cela me donne un goût amère.
Grandir. Comme c'est étrange.
lundi 1 juin 2009
Le cinéma est mon évasion hors du temps
Rien ne vaut l'évasion que peut apporter un film.Oublier toute réalité lors de ce laps de temps. 1h. 2h. La durée n'importe peu.
Une grande salle de cinéma. L'odeur du pop corn qui titille les narines. Les lumières s'éteignent. La salle se calme.
Agréable journée qu'était celle d'aujourd'hui. Un lundi de Pentecôte en compagnie d'Anges et Démons. Intriguante et passionnante histoire signée Ron Howard.
Histoire qui m'a propulsé dans un complot contre le Vatican. Une course contre la montre affolante. Des révélations surprenantes.
Une fin ...
Le générique qui cloture l'évasion défile. Les lumières se rallument. Les gens se lèvent. Empreintent la porte de sortie.
Brusque retour dans le monde réel.
Une petite douceur pour terminer cette après midi. Chocoglacé.
Quand la gourmandise me tient ~
dimanche 31 mai 2009
La plage et ces innombrables grains de sable
S'allonger sur le dos. Mettre ses écouteurs. Se laisser emporter par les premières notes. Regarder le ciel. Si bleu. Si beau. Et se détendre.
Prendre des couleurs et avoir le moral. Que pourrai je demander de plus ? Ne pas être trop gourmande et se contenter de ça me parait sage.
Une envie soudaine d'hurler et de foncer la tête la première dans l'eau. La raison ? La joie.
Voilà fort longtemps que je n'avais pas ressenti ça. Petit bémol. Nous sommes fin mai. Je me résous à rester assise. La baignade sera pour plus tard.
vendredi 22 mai 2009
"Quel cercle vicieux !"
Une boucle sans fin. Toujours la même chose. Toujours les mêmes envies. Les même peurs. Et toujours le petit quelque chose qui fait que je m'arrête d'espèrer. L'optimiste se cache. L'angoisse pointe le petit bout de son nez. Se retenir de crier.Piètre vie qu'est la mienne. "Tu as tout pour être heureuse". "Sourie petite sotte !". Certaines choses ont de l'importance considérable pour les uns et une importance insignifiante pour les autres. Est ce si dur à comprendre ?
Elles ne sont pas insignifiantes. Loin de là. Que ferai je sans cette petite poignée de personnes connus de part et d'autre ? Savoir me faire rire, me redonner confiance lors de périodes invraisembles me semble toujours impossible. Et pourtant. Elles y arrivent d'une manière toujours aussi subtile. Elles et personne d'autre. Merci.
Exalter l'esprit et les passions. Respirer à pleins poumons. Et avancer. Toujours avancer.
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