samedi 24 avril 2010

Une brise légère, un jardin ensoleillé, un banc et un Ipod. Que demander de plus ?

"Je sais tout et tu ne sais rien."

Mieux vaut une bonne nuit
avec un somnifère qu'une mauvaise sans.
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Quand arrêteront t'ils de me dicter ce qui est bon pour moi sans même savoir ce que c'est d'avoir un régiment de soldats qui s'éclatent dans leur tête ? Quand arrêteront t'ils de me juger ? C'est juste pitoyable. L'idée de me faire passer pour une pauvre petite gamine qui se noyent dans ses tourments en recherchant de la pitié est loin, très loin derrière moi. Je ne vous demande pas de me comprendre ; encore faut t'il essayer. Ni même de la compassion. Je ne vous demande rien.
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Bande d'imbéciles !

Sometimes, words have no place. Like now.

vendredi 23 avril 2010

"Vivre avec des regrets, ce n'est pas vivre !"


Cela peut être considèrer comme enfantin, ou totalement stupide. Je t'écris alors que la chance que tu puisses lire ces quelques mots est nul. Considèrons plus cela comme un exutoir qu'autre chose ; même si je ne cache pas qu'au fond de moi, j'espère toujours te souffler mes pensées.



"Vivre avec des regrets, ce n'est pas vivre !"

L'une de tes nombreuses phrases que tu ne cessais de me répéter. Aujourd'hui, j'ai enfin compris le sens de tes mots. De là où tu es, tu es surment en train de soupirer en disant : "Il t'en a fallu du temps !". Surment. Il a fallu que tu ne sois plus là pour que je comprenne leur réel sens. Et là, c'est moi qui soupir. Même si la compréhension est enfin là, la pratique est malheureusement encore bien loin mais également si près.
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L'un de mes plus grand regret, c'est toi. Avoir été assez stupide pour ne pas surmonter ce qui été à l'époque l'insurmontable : cette chose que tu voulais construire, ce nous. Fuir, ça me semblait si facile et encore aujourd'hui, je n'ai pas perdu cette vieille habitude. Faire face à ses propres sentiments est tellement terrorisant, non ? Se laisser glisser vers les eaux troublent des faux-semblants est une alternative terriblement alléchante, alors j'ai pris l'habitude d'y plonger.
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Tu sais, vivre avec ton souvenir et seulement ton souvenir n'est pas une chose si simple. Je dirai même que c'est l'une des choses les plus durs que j'ai à faire jour après jour. Etrangement, j'ai toujours l'impression que tu vas me surprendre dans la rue avec ce sourire charmeur en me demandant avec cette voix presque enfantine Je t'ai fais peur, hein ? J'ai toujours détesté ça ! Mais je donnerai n'importe quoi pour pouvoir être de nouveau en colère après toi pour une chose aussi futile.
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Avec le temps, les choses changent.
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Je veux pouvoir dire Je vais bien en le pensant réellement, je veux pouvoir penser à toi en souriant, je veux pouvoir respirer à pleins poumons en me disant que tout ira pour le mieux pour moi. Cette infime poignée de personnes sans qui j'aurais baissé les bras méritent que je redresse la tête avec un sourire franc. Un bon vivant, c'est ce que tu étais. Je sais pertinement que ce sera dur mais je le serai. Je te le promets.
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♫ Through it all, I made my mistakes
I stumble and fall, but I mean these words
I want you to know with everything
I won't let this go ♫

lundi 15 mars 2010

"Ton amitié m'a souvent fait souffrir ; sois mon ennemi, au nom de l'amitié"

L'amitié ; c'est une chose tellement surprenante. Ma seule et véritable amie, qui a fait partie de ma vie pendant un trop court instant, n'est plus prêt de moi ; surment dans un endroit où elle doit rire de certains de mes choix.

J'ai toujours eu la facheuse habitude d'oppresser mes sentiments en acceptant l'inacceptable, oubliant la peine constante de ne pas être prise en considération. Pourquoi supporterai-je de nouveaux coups de poignards en plein coeur ? Par amitié ? Jusqu'à maintenant, j'estime en avoir assez supporté. Je n'ai plus envie de faire le moindre effort en essayant de comprendre l'incomprise.

L'amitié ; c'est à la foi une bonne blague mais aussi une perspective d'avenir regorgeant de gaîté car forte heureusement, j'ai une infime poignée d'amies qui, à mes côtés, me font avancer en redorant ce joli mot qu'est l'amitié. Mais même en les ayant à mes côtés, je regrette tellement mon autre moi perdue trop tôt et que rien ni personne ne pourra jamais remplacer.
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Si le mot amie pouvait se nommé autrement, il porterait ton prénom.
Mon Aurélie.

dimanche 7 mars 2010

"La période de l'insouciance est généralement l'enfance."



Etre insouciant c'est ne se préoccuper de rien,
ne pas avoir de soucis. C'est pleurer pour un jouet cassé
et la seconde d'après, retrouver le sourire.

jeudi 4 mars 2010

  • I can take the rain on the roof of this empty house
    Je peux supporter la pluie qui passe par le toit de cette maison vide
    That don't bother me
    Ca ne m'embête pas
    I can take a few tears now and then and just let 'em out
    Je peux supporter quelques larmes et les laisser sortir
    I'm not afraid to cry every once in a while
    Je n'ai pas peur de pleurer de temps à autre
    Even though going on with you gone still upsets me
    Et même si vivre sans toi me bouleverse toujours autant
    There are days every now and again I pretend I'm ok
    Il y a de ces jours où je prétends que je vais bien
    But that's not what gets me
    Mais c'est faux
    t
  • What hurts the most
    Ce qui blesse le plus
    Was being so close
    C'est d'être si proche
    And having so much to say
    Et avoir tant à dire
    And watching you walk away
    Et te regarder partir
    And never knowing
    Et ne pas savoir
    What could have been
    Ce qui aurait pu advenir
    And not seeing that loving you
    Et ne pas voir que t'aimer
    Is what I was tryin' to do
    C'était ce que j'essayais de faire
    -
  • It's hard to deal with the pain of losing you everywhere I go
    Où que j'aille, il est difficile de supporter la douleur de t'avoir perdu
    But I'm doin' It
    Mais je le fais
    It's hard to force that smile when I see our old friends and I'm alone
    Il est dur de se forcer à sourire quand je vois nos vieux amis et que je suis seul
    Still harder
    Toujours dur
    Getting up, getting dressed, livin' with this regret
    Se lever, s'habiller, vivre avec ce regret
    But I know if I could do it over
    Mais je sais que si je pouvais le refaire
    I would trade give away all the words that I saved in my heart
    Je repousserai au loin tous les mots que j'ai gardé dans mon coeur
    That I left unspoken
    Que je n'ai jamais dis
    _
  • Not seeing that loving you
    Ne pas voir que t'aimer
    That's what I was trying to do
    C'était ce que j'essayais de faire

C'est étrange lorsque les paroles d'une chanson tapent dans le mille. What Hurts The Most, une chanson que je connais depuis quelques années et qui, à l'époque, m'avait déjà beaucoup touché. Concernant le clip qui accompagne cette chanson, c'est juste déconcertant...

_J'aurai pû écrire ces quelques phrases, j'aurai pû.

samedi 20 février 2010

"You are the smile of my life"




  • Sans toi, ma vie ne regorgerait pas de ces petits sourires. Tu sais, ces fameux sourires qui me permettent de ne pas lacher prise, de faire face aux difficultés que je peux rencontrer. Dire merci serait que trop peu. Tu me procures tellement de choses. A certains moment, je me demande même si je t'en apporte autant. Mais égoïstement, ça n'a pas de réelle importance car c'est catégorique, tu es l'un des piliés de ma triste vie. Je pense que si tu n'avais pas été là lors de certains évênements passés, j'aurai sombrer totalement. J'en arrive à un point où même les blancs que l'on peut laisser lorsque nous sommes au téléphone me font du bien ; surment parce que je sais que d'une certaine façon, tu es là. Au final, merci d'être tout simplement toi. Sincèrement.

  • Je t'aime ~

  • [Promis, on l'aura notre mariage ! Ce mariage où nous porterons de belles robes blanches lorsque nous dirons nos voeux pendant que mon J retiendra ton J en pleure. ]

vendredi 19 février 2010

I miss you so much. Your light, your smile, your way and everything about us. Though you're gone, you're still here. In my heart, in my tears. You sure left your mark and we were just getting started. Sometimes I get so mad, I scream and swear at this because this isn't how we planned it. I sit here, in a cold room. Prayin' Waiting on you to run back through that door.
p
Rascal Flatts Forever

dimanche 14 février 2010

"Ma Kekette, il faut que tu lis Une prière pour Owen !"

Voilà une oeuvre que je viens de finir. Dès la première phrase, le ton est donné : Si je suis condamné à me souvenir d’un garçon à la voix déglinguée, ce n’est ni à cause de sa voix, ni parce qu’il fut l’être le plus petit que j’ai connu, ni même parce qu’il fut l’instrument de la mort de ma mère. C’est à lui que je dois de croire en Dieu ; si je suis chrétien, c’est grâce à Owen Meany. Dès la première phrase, on sent qu'on ne sortira pas indemne de ce roman. Owen est un personnage hors norme. Outre le fait qu'il ai une voix ridicule et qu'il soit petit, sa conviction d'être l'instrument de Dieu est irrévocable. Les convictions qu'on peut avoir sont toutes bousculées. La perception de la vie change littéralement. Et ce qu'on appelle "amitié" devient encore plus important.


[...] Quand nous tenions Owen au-dessus de nos têtes, quand nous nous le passions de l'un à l'autre - sans le moindre effort -, nous croyions qu'il ne pesait rien du tout. Nous ignorions que d'autres forces participaient à notre jeu. Je sais aujourd'hui que ces forces participaient à notre jeu. Je sais aujourd'hui que ces forces contribuaient à nous faire croire qu'Owen ne pesait rien ; c'étaient les forces que notre scepticisme nous empêchait d'admettre, les forces en lesquelles nous négligions de croire - et elles soulevaient aussi Owen Meany, nous l'arrachant des mains.

"Je ne cesserai jamais de te le dire : O Dieu, par pitié, rends-le nous !" John Irving

samedi 13 février 2010

"Quand l'ennui facheux me prend !"

Un petit questionnaire made in Mlle Biiiiip. Un grand merci pour ces questions dès plus intéressantes qui m'ont occupés pendant un peu plus d'une heure. Tu m'as tout simplement sauvé la vie car je pensais faire le saut de l'ange. Que veux tu, l'ennui me donne des ailes.


1 - Le(s) métier(s) que tu voulais faire étant gosse ? Il y en avait pas mal. Professeur de littérature. Astronaute. Agent Secret ; ça paraissait exitant. Et bien sur, styliste. Je pense que si j'avais eu l'argent nécessaire, j'aurai foncé.

2 - T'es tu fixé des objective pour ton avenir ? Prendre ma vie en mains et par la même occasion, voler de mes propres ailes loin de cette ville qui regorge de mauvais souvenirs.

3 - Ton top 10 de chansons (tout confondu) :

1° Jimmy Eat World - 23
2° Tohoshini - Love In The Ice
3° Muse - Sing For Absolution
4° Yiruma - Kiss The Rain
5° Kat-Tun - Water Dance
6° Dong Bang Shin Ki - "O"
7° Miyavi - Itoshi Ito
8° Fall Out Boy & Timbaland - One And Only
9° The Fray - Look After You
10° Kyo - Qui Je Suis

4 - As-tu déjà fini une soirée la tête dans la cuvette des WC ? Malheureusement, oui. Et ce n'était pas vraiment plaisant !

5 - Ta série préférée ? (pas de drama, y'en a marre des citrons) C'est nouveau, tu as un problème avec les citrons ? x) Sinon, je suis tentée de dire Stargate SG-1. Surment parce que je suis retombée sur la fameuse porte des étoiles grâce à NRJ12 \O/

6 - Décris tes amis, ce qu'ils t'apportent : En général, la plupart sont présents et ils se comptent sur les doigts d'une main. Ils m'apportent le peu de stabilité que je peux avoir dans ma vie, et contribuent largement à mon bien être. Comme une seconde famille.

7 - Quel été ton dernier achat ? Un paquet d'Hollywood Chewing Gum. Tu t'attendais à quoi ? A un string rouge ? :)

8 - Quel serait le pire défaut chez une personne ? L'hypocrisie. Dans toutes relations, rien ne vaut la franchise.

9 - Un défis que tu te lancerais ? Passer mon permis. J'espère que j'arriverai à dépasser la peur que je ressens à l'égard des autres conducteurs.

10 - Aimes tu Dada, si oui pourquoi, autre le fait qu'elle soit génial ? (Bah quoi, c'moi qui est fait le questionnaire, je peux frimer) J'aime le "si oui" x) N'en doutes pas, je t'aime. Pourquoi ? Très bonne question.

Je pourrai te donner d'innombrable raisons mais je vais me contenter de dire que c'est parce que tu es toujours présente pour moi, à me redonner le sourire en me sortant divers blagues que tu trouves assez drôle sur le coup. J'aime tes mimiques, comme par exemple quand tu lis ; ta tête sur tes deux mains. J'aime tes expressions et le fait que tu m'en sors de nouvelles chaques jours, ou presque. J'aime la voix que tu prends quand tu veux me demander quelque chose. J'aime ton côté terriblement enfantin ; oui, tu as toujours 16 ans. Et surtout, j'aime le fait de pouvoir accorder une confiance totale en quelqu'un. Tu pourrais me bander les yeux sans rien me dire, je me laisserai guider sans aucunes craintes.

Sans toi, je crois que je ne serais plus là. Ou alors, je serais enfermée dans un bel asile près d'une belle montagne en Auvergne.

mercredi 3 février 2010

"Tout le monde part un jour."

1... 2... 3... 4.

Un jour, tu as prononcé : Je serai toujours là pour toi. Aujourd'hui, où es tu ? M'entends tu la nuit ? Je ne cesse de te pleurer en pensant que tu n'es plus là. J'ai tant de questions qui demeurent sans réponses, tant de choses à t'avouer et finalement, tant de choses à te prouver.
'
Où es tu ?!

La folie me guette. Entre faux-semblants et sentiments, je perds pieds avec la réalité. Reprenez vos sourires ! Reprenez vos éclats de rires ! Ils sont en train de me tuer. Je n'arrive plus à jouer ce jeu dès plus pitoyable. Que la torpeur m'atteint ! Qu'on m'arrache le coeur !

Désillusion. Fatalité. Abîme.

Certaines personnes disent que perdre quelqu'un, c'est perdre une partie de soi. Véridique ou non, au final que suis je ? Une coquille preque vidé qui ne demande qu'à être achevé. Par pitié ! Achevez-moi sur le champs !

Ô Seigneur... M'as tu entendu dans l'une de tes nobles maisons ?

La psychose a surment dû m'attraper pour que j'interpelle l'invisible...

[R.I.P ♥]

mardi 19 janvier 2010

ATTENDRE des réponses.

Lors de ce laps de temps où être dans le flou le plus total est presque inévitable, certaines choses changent. Un instant banal prend beaucoup plus d'importance ; alors qu'hier, ce n'était juste qu'un moment faisant partie d'un quotidien monotone.
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Être forcé d'entrer dans une cage de verre et ne rien laisser paraître pour protéger celle qu'on appelle famille, ceux qu'on appelle amies. A force de jouer le jeu des faux-semblants, la perte de contrôle de soi est imparable. Cela en devient tellement effrayant.
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J'en arrive à être épuisée, exténuée, fatiguée, je ne veux et ne peux plus combattre. Mais qui irait se douter qu'au fond, j'aimerai tant qu'on me tende la main ? Personne.
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Alors je suis là, à attendre.

dimanche 17 janvier 2010

"Une vie"

[...] Elle se croyait si directement poursuivie par une malchance obstinée contre elle qu'elle devenait fataliste comme un Oriental ; et l'habitude de voir s'évanouir ses rêves et s'écrouler ses espoirs faisait qu'elle n'osait plus rien entreprendre, et qu'elle hésitait des journées entières avant d'accomplir la chose la plus simple, persuadée qu'elle s'engageait toujours dans la mauvaise voie et que cela tournerait mal. Elle répétait à tout moment : "C'est moi qui n'ai pas eu de chance dans la vie." Alors Rosalie s'écriait : "Qu'est-ce que vous diriez donc s'il vous fallait travailler pour avoir du pain, si vous étiez obligée de vous lever tous les jours à six heures de matin pour aller en journée ! Il y en a bien qui sont obligées de faire ça, pourtant, et, quand elles deviennent trop vieilles, elles meurent de misère." [...]

Et Jeanne, alors, ne répondait plus rien.

vendredi 15 janvier 2010

"Les aléas de la vie"

Parce que les choses ne se passent pas toujours comme on le voudrait. Perdre le contrôle et accumuler les déceptions. Encaisser sans réelle réaction ou au contraire, réagir excessivement sans penser à la peine qu'on le peut causer égoïstement à une personne que l'on aime.

Dans ces moments là, j'ai juste envie de mettre en marche une perceuse et la diriger vers mes tempes.

Ne plus réfléchir, ne plus penser.

On finirait par devenir fou, ou par mourir, si on ne pouvait pas pleurer. [Maupassant]